Très populaire, la permaculture est un mode de culture préservant la nature, une technique se modernisant pour bien cultiver son jardin. Cependant, qu’est-ce que c’est la permaculture, quels sont ses principes ? Comment cultiver en méthode de permaculture ? Voici une définition et explication avec une initiation à ce super mode de culture.
Définition de la permaculture
Nous pouvons reprendre la définition du célèbre dictionnaire Larousse, Une agriculture respectueuse de la biodiversité et des êtres humains, qui imite le fonctionnement des écosystèmes naturels et qui est économe en énergie. À l’origine un modèle Japonais de Masanobu Fukuoka puis repris et théorisé par en Australie David Holmgren et Bill Mollison dans les années 1970.

La permaculture c’est quoi ?
La permaculture est un système de conception qui s’inspire des modèles et des cycles de la nature. Elle s’applique aussi bien à l’agriculture qu’à la gestion de l’énergie, à la finance, à l’architecture et à d’autres domaines, et elle est de plus en plus acceptée. Par exemple, l’UNESCO a officiellement reconnu la valeur de la permaculture.
La permaculture est une méthode ou un mode de pensée », explique Tom. L’idée est de prendre soin de l’environnement et des humains et de pouvoir partager équitablement. C’est-à-dire de créer des espaces de vie écologiques qui prennent soin du monde vivant et naturel. Que pouvons-nous faire pour y parvenir ? En s’inspirant de la fonction des écosystèmes et de la sagesse traditionnelle. Une approche éthique et beaucoup de bon sens.
Mais attention, il ne s’agit pas seulement du domaine de l’agroécologie. « Aujourd’hui, nous cherchons à créer une culture durable et permanente, en tenant compte de tous les domaines de la vie humaine », explique Simon. Simon.
En 2002, David Holmgren, l’un des cofondateurs de la permaculture, a tenté de présenter ce concept dans un livre intitulé « Permaculture Principles and Approaches Beyond Sustainability ». Selon lui, la recherche de la coopération, de l’équité et de la durabilité pouvait être appliquée à tous les aspects de la vie. Les monnaies locales, l’enseignement à domicile ou le recyclage sont aussi essentiels que l’agriculture biologique.
La fleur est un symbole de la dimension évolutive et globale de la permaculture. Nous commençons par nous-mêmes pour aller vers le collectif. Nous commençons au niveau local pour aller vers le global.
On m’a donné l’idée que le ndeg2 est une mode qui a été populaire récemment.
La première publication connue sous le nom de « Bible », date de 1978. La permaculture a donc plus de 30 ans d’existence et de connaissances. Elle est basée sur des principes aussi vieux que l’univers, dont l’observation minutieuse du monde naturel.
Charlotte cite ses noms comme membres fondateurs, Mollison Holmgren, Mollison… dans les années 70, deux Australiens ont participé à l’essor de l’éco-conscience. Ils sont arrivés à la conclusion claire que l’agriculture industrielle portait atteinte à la biodiversité des sols et à leur fertilité et qu’il fallait donc concevoir et construire des systèmes agricoles stables et robustes. Ils ont publié leur livre Perma-Culture 1, une agriculture durable capable d’assurer sa subsistance et celle des exploitations de toute taille.
Les principes de la permaculture
La permaculture est une science du design qui s’intéresse aux relations des organismes entre eux et avec leur environnement. Il s’agit d’un système écologique dans lequel tous les êtres vivants et non vivants peuvent continuer à exister. C’est un mode de vie qui peut être appliqué à n’importe quelle échelle, de la parcelle de jardin d’un particulier aux systèmes agricoles à petite échelle, en passant par des communautés entières. Théorisé par le chercheur Dr.Holmgren. Les 3 piliers fondamentaux :
- Créer un cercle vertueux
- Utiliser des solutions naturelles
- Utiliser la diversité de la nature
« La permaculture, c’est le jardinage sur buttes », affirme le site monpotager.net. C’est faux, même si le jardinage reste la méthode la plus utilisée pour mettre en œuvre le concept de permaculture. Développez votre propre plante, fixez des objectifs pour votre propre autonomie en partant de l’échelle locale et valorisez la variété d’un lieu. Les buttes sont une technique utilisée dans une variété de.
« Elle permet d’augmenter la surface cultivable, de jardiner sans se baisser, et de multiplier les microclimats, avec des zones ensoleillées et des zones plus humides », résume Tom.
Atelier de construction de buttes.
Depuis quelques temps, il cultive des fruits, des légumes mais aussi des légumineuses, des herbes et des Simon en suivant les principes de la permaculture. Les buttes de terre noire regorgent de verdure. Les abeilles ne seraient pas capables de découvrir ses petits au milieu des consoudes, carottes, pois chiches et laitues.
Un bazar végétal mais savamment organisé : les plantes sont placées à proximité les unes des autres, et celles qui ont besoin d’ombre se trouvent à l’ombre des feuilles… De plus, en bas, il y a un petit étang parsemé de fleurs ainsi qu’une loge pour les insectes, ce qui permet aux jardiniers de se rassembler dans cette zone.
Les 12 fondements en permaculture du Dr. Holmgren
Voici les 12 principes de David Holmgren pour une conception réussie de la permaculture :
- Observer la nature et interagir avec elle
- Utiliser l’énergie et la stocker
- Avoir une production
- Une production automne
- Des ressources renouvelables
- Ne pas produire de déchet
- Des petites cultures faisant attention détails plutôt que de grandes cultures
- Intégrer plutôt que de séparer
- Des techniques à petite échelle et lente
- Valoriser la diversité
- Utiliser les bordures et valoriser la marge
- S’adapter au changement en l’acceptant.
Comment faire un jardin potager en permaculture ?
En permaculture, nous ne bêchon pas la terre. On la laisse s’aérer, sur 15 cm de profondeur, à l’aide d’une griffe ou d’une Grelinette. Placer les plantes les plus hautes au centre permet, en plus de faciliter l’accès, de faire de l’ombre avec les plantes plus petites.

Quels sont les inconvénients de la permaculture ?
Le compactage du sol qui entraîne une saturation en eau et une mauvaise aération, qui se traduisent par de nombreux désordres chez les plantes, tels que l’entrave des racines, l’asphyxie des plantes et de la microfaune, c’est pour cette raison qu’un outil de jardin spécialisé a été conçu la Grelinette, avec ses griffes lorsqu’elle est plantée dans la terre, La Grelinette créer des tunnels qui permettent une oxygénation et à l’eau de s’évacuer ainsi que de pouvoir désherber facilement.

C’est quoi un potager en permaculture ?
Un potager en permaculture, c’est quand on ne creuse pas la terre, on ne la « bêche » pas. L’objectif est de produire des fruits et légumes savoureux et d’avantage nutritif que les fruits et légumes industriels. Tout en se souciant de la nature et de l’écosystème. C’est souvent la partie du jardin qui intéresse le plus les personnes à la recherche d’une bonne alimentation savoureuses et pratiques et écologiques.

Quand commencer la permaculture ?
Votre objectif va être de créer un espace pour le rendre autofertile pour récolter des légumes bios toute l’année. L’automne est la meilleure saison pour commencer votre parcelle de culture, la terre pendant toute la saison hivernale pour se bonifier.

Comment faire de la permaculture ?
La permaculture est un travail de temps et de bonne condition.
Il est primordiale d’avoir les bonnes conditions, pour cela votre terre doit être :
- Humide sans la gorger d’eau
- Une terre à température ambiante sans être glacé
- Une terre souple, la terre ne dois pas être tasser.
Commencer votre jardin en fin d’été ou début de l’automne, les organismes qui vont naître de votre terre aura ainsi les bonnes conditions pour proliférer et travailler pour vous !
Lors du début du printemps, appliquer une couche de compost de matières organique sur la terre prévue pour votre permaculture. Il vous faudra attendre quelques mois que la terre soit aéré et enrichi par le paillis.

- Ne laissez pas le sol sans traitement, et utilisez toujours un « paillis » pour conserver l’humidité du sol. Le paillis peut être vivant (plantes terrestres, plantes denses) ou minéral (pierre, ardoise, …), végétal (paillis de bois broyé, miscanthus, etc.), carton…
- Récupérer l’eau, la faire circuler et utiliser au mieux les réserves d’eau est crucial dans un jardin en permaculture. il faut la recycler au maximum. L’eau permet non seulement d’hydrater le sol et les plantes, mais aussi d’attirer les animaux sauvages. Par exemple, les tonneaux de pluie sont fréquemment utilisés comme descentes d’eau. L’eau de pluie, riche en nutriments, est particulièrement bénéfique pour le jardinage. Il est donc possible que l’eau utilisée pour baigner les canards, qui s’est retrouvée dans les plates-bandes des plantes, soit bénéfique pour certains légumes.
- Pour réduire à la fois le temps et les efforts, surtout lorsque vous débutez dans le jardinage, choisissez soigneusement votre support afin qu’il soit parfaitement adapté à vos objectifs et à votre environnement (humain ou environnemental). …). Vous éviterez ainsi bon nombre des pièges et des problèmes dus à des milieux de culture mal choisis.
- Faites des associations positives avec les plantes : Les plantes : Les légumes, les herbes aromatiques les fleurs comestibles, les petits arbres ornementaux et fruitiers sont généralement cultivés ensemble. Ils le sont de manière harmonieuse : remontée des nutriments et microclimat…
- Cultivez serré et avec la plus grande variété dans un petit espace en cultivant par exemple des buttes de permaculture, ou sur des lits permanents qui nécessitent peu d’espace et sont accessibles même verticalement sur des treillis et des paniers suspendus !
Préparer le sol pour la permaculture comment ?
L’élément le plus important et de ne jamais laisser votre sol nu, utiliser vos déchets organiques et celui de votre jardin, les rameaux, broyant, paille, foin, fumier, feuilles mortes, la pelouse coupée. Pour améliorer la qualité de la terre utiliser si possible également des engrais verts écologiques.

1 – Observez votre environnement
Quelles sont les plantes que tu peux trouver dans ton jardin ? Quels sont les animaux et les insectes qui s’y trouvent ?
Comment positionnez-vous votre jardin, quelle partie est exposée au soleil et pendant combien de temps, et où se trouve le vent le plus fort ?
Quelles sont les zones les plus humides et les plus sèches ?
Quelles sont vos ressources en termes de budget matériel, de temps ou d’espace ?
2 – Choisissez vos légumes et vos plantes
En permaculture, le jardin n’est pas seulement composé de légumes, mais aussi d’une collection globale comprenant des plantes qui se complètent les unes les autres.
Faites une liste des plantes que vous aimeriez cultiver, puis classez-les en fonction de leurs besoins et de leur sensibilité ainsi que de leurs interactions entre elles, notamment les plantes compagnes et les plantes amies.
Les plantes qui peuvent être réensemencées pour une meilleure croissance des plantes pérennes et un moindre coût d’investissement et de temps.
Mauvaises herbes
Ce ne sont plus des plantes, et pour cause ! Beaucoup d’entre elles sont bénéfiques pour le sol, elles nous protègent ou nous nourrissent car elles fournissent de nombreuses informations sur les caractéristiques du sol. De plus, certaines d’entre elles peuvent être consommées ! En occupant constamment votre espace, elles stopperont leur propagation.
- Planifiez votre projet
Que faut-il planter pour se protéger des vents qui soufflent ? Où mettre les plantes les plus utilisées au quotidien (herbes, légumes) pour les rendre les plus accessibles ? Créer des zones plus ou moins proches de la maison en fonction des activités humaines.
- Faites des parcelles
L’idée est de planter au-dessus du sol, afin de ne pas épuiser les ressources du sol. Les types de parcelles disponibles sont variés : lasagnes en trou de serrure, lits permanents en bottes de paille, buttes, potagers 3P (liste non exhaustive). ! !). Si vous envisagez de planter des bordures, choisissez des plantes moins exigeantes et à faible système racinaire pour éviter de concurrencer les plantes plantées à l’intérieur. Si cela ne sert pas aussi un objectif ! Votre parcelle doit être grande, mais vous devez pouvoir accéder facilement au centre. 1m20 est une quantité raisonnable. Vous ne devriez pas avoir à marcher à travers votre parcelle car cela assèche le sol, ce qui empêche les vers de terre de faire leur travail efficacement ! *
En permaculture, on ne retourne pas le sol et on ne le bêche pas. Cependant, il est permis d’aérer le sol, jusqu’à 15 centimètres de profondeur maximum, avec la griffe ou la grelinette.
Le fait de placer les plantes les plus hautes au milieu permet non seulement de les atteindre plus facilement, mais aussi de faire de l’ombre aux plus petites.
Pour gagner de la place et créer de l’ombre, on peut faire pousser les plantes plus hautes avec des treillis, des suspensions, des paniers suspendus et des tipis.
Les parcelles doivent être utilisées de manière continue, optez donc pour la combinaison de plantes synchronisées dans le temps. Ce type de méthode de travail présente de nombreux avantages :
N’abandonnez pas le sol sans surveillance pour éviter la croissance de plantes non sélectionnées qui peuvent nuire à la qualité des plantes que vous souhaitez cultiver.
Elle permet aux jeunes pousses de bénéficier des éléments organiques présents dans les plantes en fin de vie, et libère des éléments nutritifs.
Le processus de plantation ne se fait pas toujours en ligne. Elle s’effectue en fonction des relations.
- Veillez à ce que le sol soit recouvert
Paillez votre jardin : carton, compost de copeaux de bois, ou copeaux de bois, en couches.
Il est important de pailler régulièrement entre vos plantations pour stopper la pousse des mauvaises herbes, et vous réduirez les pertes d’eau. Le gain est substantiel, environ 3 arrosages sur quatre micro-organismes ainsi que de petits insectes peuvent être en mesure de décomposer les éléments qui se trouvent dans le sol, de sorte que l’humidité et la température deviennent mieux supportables, cela diminue la contrainte sur les plantes.
Le BRF
Le Rameal Fragmente est constitué de branches de moins de deux ans, qui ont été broyées. Le broyage permet aux champignons de pénétrer rapidement dans le bois (ils ne peuvent pas y pénétrer par l’écorce) et de le décomposer. Ce BRF répandu sur la surface du sol contribue à rendre le sol fertile et aide à prendre soin des plantes en formant du mycélium et de l’humus dans le sol.
Quel est l’intérêt de la permaculture ?
La permaculture est une méthodologie de culture respectueuse de la nature et des écosystèmes existants. Elle se concentre sur le recyclage des ressources, comme l’eau et la fertilité du sol, afin de réduire les déchets. L’objectif est de produire des plantes, des fruits et des légumes cultivés sans pesticides.

Le principe fondamental de la permaculture est de s’inspirer de la nature pour créer une culture qui soit diversifiée, indigène et qui puisse s’interconnecter. Naturellement, l’utilisation d’engrais et d’insecticides est interdite et la surface est optimisée, tout comme l’utilisation de la lumière du soleil et de l’eau. L’idée de ne pas ruiner les écosystèmes peut être ajoutée à un autre avantage de la permaculture, à savoir que les jardins de légumes qui sont cultivés par la permaculture demandent moins d’attention que les jardins traditionnels.
Pourquoi choisir la permaculture ?
Une méthode non agressive le terme anglo-saxon « permanent agriculture » définie une culture qui n’agresse pas votre terre et la rend fertile pour longtemps. Vous pouvez cultiver sans épuiser les ressources de votre terre. La permaculture favorise la préservation de votre jardin et des écosystèmes.

Comme nous l’avons expliqué, la permaculture est un terme et ses composantes peuvent être considérées comme philosophiques. L’idée fondamentale de la méthode de la permaculture repose sur trois principes éthiques.
- Redonner à la terre
- L’être humain est la chose la plus importante dont nous devons prendre soin (soi et les autres).
- Créer l’abondance et distribuer le surplus
Ces trois piliers éthiques qui constituent la base de tout programme de permaculture ne doivent pas être confondus avec les concepts de design énoncés dans le livre de David Holmgren. Cependant, ces principes en sont dérivés. En fait, les principes de la permaculture comportent des directives de conception qui découlent directement des principes éthiques.
Quels légumes planter en permaculture ?
En permaculture vous allez mélanger des plantes pour créer une biodiversité, mêler les avantages de diverses plantes pour combler leurs faiblesses et créer ainsi un potager autonome !

Aider vous de ce tableau pour optimiser votre potager :
Lègume | À cultiver ensemble | À ne pas cultiver ensemble |
Ail | chicorée, pissenlit, tomate, fraise | pomme de terre, artichaut, asperge, chou, haricot, |
Asperge | concombre, pois, tomate, persil, poireau | ail, blette, betterave, chicorée, oignon |
Aubergine | pomme de terre, oignon | |
Betterave | céleri, laitue | asperge, épinard, poireau, tomate |
Carotte | betterave, haricot, laitue, oignon, panais, poireau, pois, radis, salsifis, échalote | maïs, blette |
Céleri | betterave, chou, concombre, haricot, poireau, pois, tomate | maïs, persil, laitue |
Chicorées | épinards, roquette | asperge, chou |
Choux | betterave, céleri, concombre, épinards, haricot, laitue, pois, pomme de terre, salsifis, tomate | chicorée, courgette, fenouil, fraisier, mâche, maïs, pissenlit, poireau, radis |
Courge et potiron | chou, maïs, pomme de terre, laitue | fenouil, radis |
Échalote | carotte | haricot, pos, chou |
Épinard | artichaut, chou, fraisier, haricot, navet, pomme de terre, radis, tomate | |
Fenouil | céleri-rave, poireau | concombre, épinard, haricot, navet, panais, tomate, chou |
Fève | chou, laitue, pomme de terre | oignon |
Fraisier | ail, oignon, poireau | chou |
Haricot | carotte, céleri, chou, concombre, épinard, laitue, maïs, pomme de terre | ail, courgette, échalote, fenouil, oignon, poireau, pois |
Laitue | betterave, carotte, chou, courge, fève, fraisier, haricot, melon, navet, oignon, poireau, pois, radis, tomate | céleri, persil |
Mâche | fraisier, poireau | |
Maïs | betterave, courge, haricot, pois, potiron, tomate | laitue, oignon |
Navet | chicorées sauvages, épinard, fraisier | chicorée frisée et scarole |
Oignon | carotte, laitue, panais, mâche, radis | haricot, pois |
Panais | betterave, chou-rave, oignon blanc, radis | fenouil, laitue |
Poireau | artichaut, carotte, céleri, fenouil, laitue, mâche, tomate, asperge | blette, chou, betterave, haricot, persil, pois |
Pods | asperge, carotte, chou, céleri, concombre, laitue, navet, pomme de terre, radis | ail, échalote, oignon, persil, poireau |
Pomme de Terre | céleri, chou, courge, épinard, fève, haricot, pois, potiron, radis, tomate | maïs |
Radis | carotte, concombre, épinard, haricot, laitue, oignon, pois, tomates | chou |
Salsifis | carotte, épinard, oignon, poireau | |
Tomate | chou, concombre | pomme de terre |
Pour résumer un jardin qui vous rend service et travail pour vous ! Afin de pouvoir manger de bons légumes et fruits durant toute l’année pour une meilleure santé tout en économisant son argent. Un cercle vertueux !
A l’ombre d’un arbre, Jean montre comment on peut couper l’arbre fruitier. « On coupe une jeune pousse, on la place dans un pot recouvert de plastique, et voilà ! ». Apprenez à le faire vous-même et commencez par les bases… La permaculture est une philosophie actualisée, et ses principes s’incarnent dans les moindres gestes de la vie quotidienne. « Tout le monde fait de la permaculture sans le savoir ».
Depuis plus d’un quart de siècle, les personnes à l’origine de cette méthode ont à cœur de transmettre leur savoir. Ils ont développé différents outils, dont l’un des plus connus est le design. Selon le design, le « jargon » des initiés, il s’agit de « la conception, la réalisation, l’entretien et la réévaluation » d’un espace.
Nous nous plaçons en tant que concepteur, en utilisant un exemple extrêmement concret : la maison dans laquelle vit le père de Simon. L’objectif, si nous l’acceptons, sera de présenter un espace extérieur design aussi harmonieux que possible. De reconnaître et d’évaluer les forces et les limites du lieu.
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